C’était mardi 23 avril…
La vieille ville ça ne se raconte pas, ça se vit, à pied, les yeux grand ouverts…
Elle est coincée, de plus en plus, entre les grands immeubles d’habitation « classe moyenne » ou bureaux et ce contraste est quelquefois étonnamment marqué : une tour de 25 étages peut être mitoyenne de la dernière maison d’une ruelle. Hélas ce quartier risque de disparaitre un jour.
C’est à la fois triste pour toute l’histoire et le charme qu’il contient mais aussi heureux de permettre l’amélioration des conditions de vie de ses habitants.
Et pourtant, à les voir vivre, on ne peut être certain qu’ils aient vraiment envie de quitter leurs racines et leurs habitudes de vie…
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