C’est le nom donné aux habitants de Saint Gilles, périphérie de Bruxelles, qui, au XVIIème siècle, faute de place ont inventé cette végétation verticale moins mangeuse d’espace de maraichage.
Aujourd’hui, manquant moi aussi de place pour un pour un beau gros chou, j’ai opté pour ces petits choux qui poussent le long d’une tige, à la base des feuilles: les choux de Bruxelles.
Profitez en, la saison bat son plein et poêlés avec des lardons et un bel oignon ils sont bien bons.
En tout cas bien meilleurs que leur portrait que j’ai eu du mal à peindre. Il faudra que je remette ça!
A jeudi.