Au moins avons-nous déjà le nom de cette nouvelle suite-duplex de la résidence.
L’envie de combler un vide de la grange à bois, (d’où le nom puisque des familles de hérissons passent l’hiver sous les tas de bûches) me chatouillait depuis quelque temps.
Ajouter une capacité d’accueil, créer un atelier de peinture et sculpture, disposer d’un point de chute en hiver sans ouvrir et réchauffer toute la maison étaient les principales raisons de ce projet.
Cette fois je suis passé à la phase réalisation.
Après le coulage de la dalle béton du sol voici venu le temps des cloisons principales porteuses et de façade, juste avant la fermeture de la résidence et notre départ vers l’extrême orient.
Avant tout il faut rentrer les matériaux.
Deux mètres cube de sable, 12 sacs de ciment, 320 briques de 50x20x27 = 5,8 tonnes à livrer.
J’ai loué le camion ad-hoc, fait quelques allées-venues entre le fournisseur et la grange à bois, le plus délicat consistant à rentrer le camion en marche arrière, sans visibilité, le plus près possible du lieu de mise en œuvre.